Le poisson aussi est à consommer avec modération et discernement...
Un tiers des océans du monde sont surexploités et la consommation de poisson n’a jamais été aussi élevée : nous atteignons les limites des ressources de protéines issues de la mer, pourtant indispensable à des millions de personnes dans le monde. Pourtant une exploitation durable et raisonnée est possible, et laisserait suffisamment de poissons dans l’océan, respectant les habitats marins et permettant aux personnes qui dépendent de la pêche d’en vivre.
LA PÊCHE DANS LE MONDE
1
%
DES STOCKS DE POISSONS DANS LE MONDE SONT SUREXPLOITÉS
1
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DES STOCKS DE POISSONS DANS LE MONDE SONT PLEINEMENT EXPLOITÉS
1
%
DES STOCKS DE POISSONS DANS LE MONDE SONT SOUS EXPLOITÉS
Source : FAO
Il est de plus en plus facile de consommer durablement en diversifiant les espèces, en évitant les espèces rares ou menacées et en privilégiant les pêcheries soucieuses de l’avenir de la mer… Préférez également des produits pêchés localement, vous préserverez la planète tout en soutenant les pêcheurs locaux.
Vous trouverez toutes les informations complémentaires dans le guide d’utilisation du label MSC (Marine Stewardship Council) mais aussi auprès de Mr Goodfish, une initiative soutenue par la Fondation Prince Albert II de Monaco.
L’aquaculture représente à peu près la moitié de la source des poissons dans notre assiette (sûre ? je pensais au tiers…). C’est pourquoi le label ASC (Aquaculture Stewardship Council) a été créé en 2010 pour les poissons issus d’une aquaculture durable. Ce label se retrouve sur 9 espèces de poissons issus de l’aquaculture, comme le saumon, le tilapia, la truite, le pangasius ou les crevettes et sur les algues marines. Il garantit également que le poisson a été produit dans le respect de l’environnement et dans de bonnes conditions de travail. Distributeurs, pêcheurs, consommateurs… Ces labels permettent ainsi d’agir chacun à son échelle.
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